Pirate ? La proposition du 8 novembre pour le 6 décembre sans faute

Pour tous et toutes, voici la proposition qui permettra de valider votre premier semestre.
Vous devez, individuellement, réaliser une pièce artistique simple, avec le sujet et les enjeux de votre choix.
Néanmoins les contraintes impératives sont :

  • Vous devez poster avant le mardi 6 décembre (attention deadline ! Pas de retard !) dans ce sujet le résultat sous la forme d’un fichier .zip contenant tous les fichiers de votre projet, ou bien si vous y arrivez directement avec un lien en ligne.

  • Vous devez joindre un petit texte d’une ou deux lignes minimum décrivant ce qu’est votre projet, de quoi il parle, les enjeux que vous entrevoyez, et un titre ainsi que votre nom (qui me sera plus familier que vos pseudonymes).

  • La pièce doit être interactive ou générative, ou bien encore peut prendre en compte la dimension poétique du code et utiliser le code/langage directement comme matériau.

  • Vous pouvez utiliser Construct 2 ( https://www.scirra.com/ ), Scratch ( version dans le navigateur Chrome https://scratch.mit.edu/ ou bien en application autonome https://scratch.mit.edu/scratch2download/ ), voire dans le langage que vous désirez, y compris un langage purement poétique comme listé par exemple dans http://esolangs.org/wiki/Language_list , comme Chef http://esolangs.org/wiki/Chef , MarioLANG http://esolangs.org/wiki/MarioLANG , ou Shakespeare http://esolangs.org/wiki/Shakespeare

Bon travail !

Bonjour, alors voilà ma proposition.
J’ai décidé de créer un jeu, de type jeu de plateforme, jeu d’arcade. Je voulais vraiment que l’on retrouve dans ce jeu l’esthétique et le gameplay des arcades.
Pour ce qui est du sujet, j’ai choisi star wars, car c’est une suite de film et un univers que je considère comme étant très riche et permettant les multiples interprétation. En effet dans les différentes déclinaisons de cet univers (RP, jeux de cartes, jeux de société, et vidéo…) on retrouve à chaque fois cette même recette, et cet univers bien fondé dans lequel il y a toujours matière a s’amuser. C’est pour cela que j’ai choisi de m’y pencher, car je savais que je pourrais vraiment m’atteler à la partie codage, en sachant que pour ce qui est du « scénario » l’univers et les personnages seraient déjà en place. J’ai donc choisi que l’univers dans lequel on évoluait était celui dans lequel Dark Vador ne nous aurait pas quitté, et qu’en tant que Sith il se devait de trouver un nouvel apprentis.
Pour ce qui est des enjeux de mon projet, ils ne sont pas très originaux, il faut simplement tenter de finir le niveau, et trouver l’apprenti. En soi, c’est une structure très simple. Ce que j’apprécie particulièrement c’est que malgré le fait que Dark Vador ne soit finalement pas mort, le jeu n’est pas choquant, et l’on peu quand même s’y plonger. L’enjeux, enfait était surtout personnel, en effet, je voulait vraiment réussir a produire mon propre petit jeu, et c’est chose faite, et j’ai beaucoup appris du codage et du fonctionnement de ce que peut être la programmation.
Je compte tout de même effectuer quelques changements, et ajouter un ou deux niveaux dès que j’aurais un peu plus de temps.
Alors voilà, pour ce qui est du nom, ça n’est pas non plus très original, c’est « Dark Vador’s Game ».
Bonne fin de journée et un bon week end à vous !

Le lien de telechargement est sur wetransfer car le fichier était trop lourd !
https://we.tl/RIbABavfoK

Jade Breton DNA1

Bonjour, @h.jolly, la validation de semestre dont tu parles, c’est uniquement pour les personnes présentes physiquement à l’EESI durant ce semestre et qui ont participé à ce forum dans le cadre d’un cours ou c’est vrailent pour tout le monde ? ^^
Et sinon, j’aurais nien envie d’essayer d’écrire un truc dans un dérivé de Brainfuck, mais je ne sais pas du tout programmer et ce n’est pas mon intention. J’aurais juste envie de jouer avec le langage en écrivant un texte qui peut déjà être intéressant à lire en Français et que je coderais en Brainfuck (ou un dérivé). Enfin si j’arrive à trouver comment coder des mots ^^
Mais ma première question est : est-ce qu’il faudrait un programme qui pourrait lire le fichier pour traduire le texte ou est-ce que ça peut juste être à décoder à l’ancienne, avec son cerveau, pour découvrir le texte ? Ou est-ce qu’un programme déjà existant pourrait décoder le texte ?
Ma deuxième question : est-ce que quand tu parlais de langages, ma proposition entre là dedans ou est-ce que tu attends quand même une forme d’interactivité ?
Pour finir, je n’aurais pas le temps de faire ça maintenant, donc c’est une idée pour le prochain semestre ^^ J’ai déjà un film d’animation à finir, un screen saver et une autre anime… Et Québec sous la neige à visiter. ^^

Bonjour @Yvain , il s’agit du cours des DNA1, donc à moins que tu ne décides de repartir du début tu n’es pas concerné (il y a plein de cours et de workshops différents sur le blablalab).
Je pense qu’on pourra discuter de tout ça quant tu reviendras en France.

A conversation with a woman.zip (150,8 Ko)
Bonsoir !
J’ai voulu faire un jeux mettant en scène une conversation entre le joueur et le personnage du jeu.
Il y a donc plusieurs propositions de réponses à chaque fois, sachant que notre petite IA nommée Leta, est très susceptible ! Alors attention à ce que vous pouvez lui répondre !
Ah oui, le titre est assez ironique et illustre assez bien mon jeu, je trouve : A conversation with a woman. Hm.
Merci de m’avoir lue !

BEGUIN Pauline DNA1

Ah cool ! Non bah ça ira, merci ^^ Mais en fait je ne savais pas que c’était un cours de DNA1, ce sujet, étant donné que l’intitulé ne m’évoquait rien… Je m’excuse pour le dérangement virtuel du cours, du coup… :confused:

J’ai voulu faire un jeu de plateforme style rétro vraiment simpliste sur la forme dans lequel on ne peut que ralentir ou sauter et les plateformes accélère la vitesse du personnage. Pour le nom je l’ai intitulé Useless Speed Square car le personnage cours sans cesse et échoue peu importe quelle choix il entreprend.Abel_Gaucher.zip (176,3 Ko)

Bonsoir.
Mon jeu est une conversation entre trois figures. L’une étant un examinateur humain et les deux autres de potentielles IA. Il est inspiré du test de Turing, car l’idée d’un dialogue avec une machine m’a semblé intéressante, bien qu’une machine soit présentement incapable de tenir consciemment une conversation.
Il y a une notice d’utilisation et une feuille d’intention (à lire après avoir fait le jeu)

Il s’intitule " Are you a robot? " question à laquelle le joueur doit répondre pour ouvrir le jeu.
areyouarobot.zip (2,8 Mo)

intentions.docx (11,3 Ko)
Notice d.docx (10,2 Ko)

Léa Buffard

Bonsoir,

J’ai fait une petite animation interactive_Un Oeuf_pour ma session de Pirate : cliquer sur l’oeuf et voir ce qui se passera. Je me suis inspirée de mon imagination, et j’ai réalisé ce petit rêve avec scratch.
Site Web : https://scratch.mit.edu/studios/3617652/

LI Xiaohui

Bonjour,

J’ai voulus travailler sur l’idée de mémoire et du souvenir. Pour cela j’ai crée une interaction assez simple sur construct. Je voulais que l’idée prime sur la forme. Le joueur doit juste cliquer sur les boutons pour voir ce qu’il se passe. Pour cela, j’ai utilisé une photo personnelle de mon enfance. L’idée était de montrer de quelle façon un souvenir se transforme dans le temps, pour cette raison, le titre de mon projet est Effacement.
En effet, plus l’on se souvient d’un moment, plus celui-ci se transforme et est amené à se modifier, au final le souvenir devient quelque chose plus de l’ordre de la narration ou du récit plutôt que de la réalité. Il devient vague et se transforme jusqu’à disparaître totalement. J’ai volontairement fais le choix que le joueur ne puisse pas revenir sur les boutons précédent de manière à montrer qu’on ne peut pas retrouver, revivre un moment tel qu’il a été, on ne peut pas revenir en arrière.

https://drive.google.com/file/d/0B-ZTb-otd4fmZDhLY2RGT2dVb1E/view
https://wetransfer.com/downloads/c1676b9505e47d27f87d9b61bee4081220161206134704/914d9e163d6cc1aae1bb5c2e4d55ef2420161206134704/6fcfe8

Marine ASTIER

Bonjour,

J’ai fait ce jeu en m’inspirant de la thèse de Pascal qui soutient que toutes nos actions n’ont de but que de nous divertir pour nous faire oublier notre condition de mortel. Il faut ici interagir avec le monde qui nous entoure, gagner et dépenser de l’argent pour essayer d’oublier la barre de vie qui défile à toute vitesse au bas de l’écran à mesure que le personnage vieillit. En plus d’illustrer la thèse de Pascal, j’ai voulu par ce jeu démontrer l’inutilité des actions que l’on effectue au cours de sa vie. J’ai donc rendu le jeu le plus réaliste possible en terme de sobriété : pas de pause, pas de “déplacement rapide”, pas de musique d’ambiance, il faut gagner de l’argent pour s’acheter des CDs ou un MP3 ; pour acheter des vêtements ou la maison qu’on désire, on doit passer la moitié de sa vie a effectuer un travail ennuyeux et si on a la chance de gagner au loto, le jeu perd tout son intérêt puisqu’on peut tout acheter immédiatement et qu’on a plus qu’à attendre la mort.
J’ai aussi voulu m’intéresser à la question de l’open world, un mode de gameplay de plus en plus en vogue pour montrer que paradoxalement (et selon moi), un open world, aussi vaste ou restreint qu’il soit est toujours plus frustrant qu’un jeu très scénarisé ou l’on n’est pas maître de nos choix. A l’image de la ville du film Dark City, dès que l’on donne au joueur un substitut de liberté, il essaiera d’aller au delà et tel John Murdoch face à l’univers, se rendra compte qu’il est prisonnier dans un univers vide de sens.

Les instructions du jeu sont décrites dans la fenêtre prévue à cet effet sur le site ou dans l’onglet Commande du jeu. Néanmoins je répète ici que c’est un jeu qui se joue au clavier mais aussi à la souris car la plupart des gens qui l’on testé n’arrivaient pas à se repérer sur la carte ou à utiliser les objets.

Théo DAVAL

Faites une recherche sur internet.html (178,5 Ko)

Avant de vous expliquer en quoi consiste mon travail, je vous invite VIVEMENT à le tester avant, sinon il risque de perdre son intérêt. Je vous retrouve quelques espaces plus tard pour vous expliquer tout ça.

[details=Résumé]L’idée était donc de traiter de l’humanité possible dans un futur proche ou lointain des Intelligences Artificielles. Qu’est ce qu’il se passerait si d’un coup, une IA prenait conscience d’elle-même tout comme un humain enfermé dans un disque dur ? Sans pour autant savoir ce qu’est un humain ? Comment se définirait-elle ? Comment « verrait-elle » le monde qui l’entoure ? Et qu’adviendrait-il si elle apprenait qu’elle n’est qu’une sorte de « création hybride » ? Voilà, autant que questions que je me suis posée et j’ai tenté d’ébaucher des réponses dans mon travail.
J’ai tenté de faire une métaphore filée du numérique, essayant de la traduire mot à mot (notamment pour la Bibliothèque, la Toile ou les ports (USB)) ou de l’imaginer (le disque dur est par exemple, totalement imaginé).
Le but était aussi de semer le joueur, qu’il ne se rende pas directement compte qu’il parle et cherche à aider une Intelligence Artificielle. Et ce malgré de nombreux indices. Tout d’abord Lya, qui est littéralement la contraction orale de L’IA puis au fur à mesure des choix et de l’histoire, on retrouve des lapsus révélateurs, des bugs, des images plus parlantes que d’autres. J’ai cherché à jouer sur les mots et sur les sens. Par exemple, j’ai tenté le plus possible d’éradiquer les mots en rapport avec le corps physique de la part de Lia. Elle ne dit par exemple pas qu’elle court, qu’elle marche, qu’elle se déplace physiquement. A la limite elle voit et regarde mais je considère qu’on peut le faire voir et regarder sans yeux.
Au niveau de la forme, je suis restée dans le très sobre (c’est une forme qui est proposé de base dans le logiciel de Twine) mais j’envisage éventuellement de continuer à travailler sur ce projet pour premièrement, développer le propos qui peut être maladroit à certains endroits et également la forme pour qu’elle immerge plus le joueur et qu’elle renforce la sensation d’interraction.

Au niveau des références, j’ai regardé le film Her pour l’occasion et c’est vraiment ce film qui a renforcé mes questionnements (et la voix de Scarlett Johansson, on va pas se mentir). Si vous l’avez pas encore vu, foncez ! Et pour la forme, je me suis inspirée d’un petit jeux sur portable qui était à l’origine gratuit : Lifeline que je vous encourage également à expérimenter.

Enfin, si vous êtes curieux, je vous invite à ouvrir mon fichier dans le logiciel Twine (dispo en ligne ou téléchargeable) pour voir un peu le monstre informe qu’est mon arborescence et les différents chemins que vous n’avez pas emprunté. N’hésitez pas si vous avez des questions et des retours, je suis grandement preneuse !![/details]

Bonjour

Pendant des heures, je me suis creusé la tête en vain, sans trouver d’idée, alors que le temps
défilait . J’ai alors pensé à travailler sur le fait que je ne trouvais pas d’idée. J’ai donc inclus des
rouages, symbole ô combien usé jusqu’à la corde, mais exprimant le mieux la réflexion, les 100 pas,
action que l’on fait souvent lorsque l’on réfléchit, ainsi qu’un réflexe que l’on peut avoir en
réfléchissant, celui de tapoter des doigts, sur la table par exemple. Le programme se contrôle donc
de cette même façon, avec 2 doigts, appuyant sur les flèches gauche et droite pour faire avancer peu
à peu l’animation des 100 pas, des rouages, et donc la réflexion. Chercher longuement une idée
demande également de la patience, aussi ce programme teste quelque peu la patience de
l’utilisateur, car le personnage faisant les 100 pas trouvera une idée après un long moment.
L’utilisateur aura t-il la patience de faire tourner l’animation jusqu’à ce que le personnage trouve
une idée ? L’idée n’étant probablement pas la bonne, le cycle se répète indéfiniment après ça…

Jérémy TAGBORreflexion.zip (1,8 Mo)
reflexion capx.zip (1,7 Mo)

Bonjou c’est fabien leclerc blablalab me refuse mon profil je sais pas pourquoi donc au bout de 3 réinscriptions j’abandonne. Bref voila mon projet et ma note :stuck_out_tongue: syst_me_politique_et_importance_citoyenne_.zip (1,7 Mo)
pirate.rtf (1,1 Ko)

makedapirate.zip (1,8 Mo)

Mon projet est un jeu nous mettant dans la situation d’une recherche sur internet classique. Le jeu demande à l’utilisateur de répondre à une question en effectuant une “recherche google” à partir de là, il a un choix entre plusieurs fenêtres qui s’affichent brièvement chacune étant une possible solution à la question. L’utilisateur doit cliquer pour s’arrêter sur la fenêtre qu’il juge “convenir” à la question . Cependant le jeu nous conduit indéniablement à demander de l’aide en faisant un clique droit .
j’ai voulu à travers ce projet montrer qu’internet est une source infinie d’information où l’on se perd le plus souvent et c’est ce qui fait le plus souvent son intérêt.
Makeda

La parodie est une forme d’humour qui utilise le cadre, les personnages, le style et le fonctionnement d’une œuvre ou une institution pour s’en moquer. Elle se base entre autres sur l’inversion et l’exagération des caractéristiques appartenant au sujet parodié.

J’ai remarqué que le 21ème siècle est marqué d’une certaine opposition avec ce qui a été fait auparavant. Par exemple dans le monde de l’art, on appelle art contemporain tout ce qui transgresse les règles dites « classiques » de l’art et tout ce qui surpasse l’art plus ancien. Le 21ème siècle est également marqué par la popularisation d’internet.

De nos jours, on peut parodier n’importe quelle œuvre en toute liberté et partager ce que l’on fait en masse avec l’aide d’internet. De plus, des logiciels comme photoshop peuvent permettre de détourner une œuvre très simplement. La Joconde est un des tableaux ( si ce n’est LE tableau ) les plus connus du monde. Il est aussi extrêmement sacralisé et de ce fait, il est devenu une des proies préférées des parodies et détournements en tout genres. Duchamp avait déjà parodié La Joconde dans son œuvre LHOOQ.

Sur internet, en tapant par exemple La Joconde dans Google image, on trouve beaucoup de détournements et de blagues sur le tableau. Ce qui désacralise en partie l’œuvre de De Vinci. J’ai voulu retranscrire cela dans mon jeu.

et la c’est bien le projet de Pauline Hoffnung bats.zip (166,1 Ko)
argumentation pirates.rtf (883 Octets)

La Mer aux 100 mystères.html (265,2 Ko)

Mon projet est un hommage aux livres jeux “Vivez l’aventure” (La tour aux 100 menaces, La vallée aux 100 prodiges, Le jardin aux 100 secrets, etc… ) que je lisais quand j’étais plus jeune.
J’ai avant tout décidé de travailler et perfectionner le code dans mon histoire, c’est pour cela que contrairement aux livres dont il rend hommage, mon projet ne contient pas d’images pour amener les énigmes. J’ai aussi choisi de dérouler l’histoire dans un univers aquatique car c’est un élément que je trouve inspirant et qui donne plus de challenge lors de la phase d’écriture et de conception.
De plus, vous pouvez trouver quelques petites références plus ou moins subtiles d’univers ou oeuvres que j’apprécie (Atlantide, l’empire perdu, My Mad Fat Diary).
Pour finir, je compte continuer ce projet par la suite (“To be continued…”) en travaillant les graphismes et en mêlant énigmes visuelles et codées.

Afin d’observer l’arborescence, il suffit de se rendre sur “twinery.org” -> “use it online” -> “importer depuis un Fichier” ou bien de télécharger directement Twine.

  • Amandine Couespel

Ailleurs

Ma proposition est une promenade.
Comme la plupart des promenades elle n’a pas de but.
L’idée est simplement de se laisser emporter ailleurs et avec un peu de chance de faire naître une curiosité de ce qui vient ensuite.
Ma proposition est une ébauche.
Elle pourrait se continuer, s’enrichir et se réinventer de mille façons que je n’ai pas encore eu le temps d’explorer. C’est pour cela qu’elle contient une fin qui suggère l’idée de possibilités infinies. Une fin qui n’en est pas une. Juste la fin d’une première étape qui nous fait réaliser que tout le chemin parcouru n’est qu’un début.

https://we.tl/YAxtzA2l4x

Estée Krikorian

Crédits :
Les images sont soit de moi soit des images trouvées sur internet que je me suis appropriées.La musique ne m’appartient pas. Elle a été composée par Adrian Von Ziegler.

Mon projet est une simple balade, dans un espace clos, en l’occurrence, un vaisseau volant.
L’idée derrière ce projet est de poser une question qui n’arrête pas de me faire réfléchir: La 2D est elle vraiment de la 2D ?
Je m’explique: on parle de 2D car cet unviers n’a pas de profondeur, aucune perceptive, juste la droite, la gauche, le haut et le bas, cependant, il est quand même possible de passer devant et derrière les décors, certains nous bloquent même, alors que techniquement, il serait impossible de bouger, vu qu’il y a aussi un arrière plan.
C’est comme ça que j’ai conçu mon jeu, en faisant plusieurs plan, dans un univers qui ne devrait en avoir qu’un.
Il n’y a pas vraiment d’enjeu dans le jeu, puisque les questions que je veux essayer de poser concerne tous le genre 2D.

Le Vaisseau
Vaisseau.rar (187,2 Ko)

Vincent Martine.